Comme je ne ferai jamais de cinéma, autrement dit, une suite d’images créant le mouvement du sujet, je prends le parti de figer le mouvement dans une image. J’y adjoins une phrase qui se veut l’ambiance de mon film intérieur, comme une illustration musicale, une voix off, un visage en gros plan qui suivrait ici cette forêt des Vosges où je passais, dans l’action du film que j’imagine. Ne faisaient-ils pas ainsi dans les films muets en intercalant des textes […]