Sur mon chemin j’ai rencontré celui là qui ne bougeait pas. Il faisait très chaud, c’était mercredi dernier, le 27. On est resté longtemps comme ça, à s’échanger des pensées, il s’est laissé photographier mais je n’ai pas eu envie de l’effrayer, je n’ai fait que trois photos. La lumière dardante jouait sur les reflets de son plumage et son œil à la pupille étonnante, ne perdait aucun mouvement. M’arrachant à notre rencontre, j’ai fait quelques mètres (j’étais en vélo) et je me suis retournée. Lui aussi était parti, sans un bruit.
Salut Sophie, un pensée et un bisous en passant. Cécile
Hey Cécile ! Je pensais justement à toi ces jours-ci et pof ! te voilà ! Gros bisous, as – tu démarré ton blog ? Je t’embrasse !