Qu’y a -t-il entre le ciel et moi, sinon des branches d’arbres où logent des oiseaux Qu’y a -t-il donc d’autre que cette vie là que je n’aurais jamais arbre ou oiseau et que je m’évertue à saisir sans prendre Les oiseaux m’effraient quand j’y songe becs – griffes – plumes quant aux arbres… Leur immobilité, cet enracinement miroir des branches et tout ces réseaux mystérieux où coule des sèves aux compositions secrètes semblables au sang, ça, tout ce que […]